Jeudi 22 janvier 2009
«Ils ont inventé le saint ennui et l’envie des lundis et des jours de travail»p449.
Je renvoie à la page 456 où il s’agit de l’éducation. Tout d’abord, Nietzsche dit que le grand défaut de la formation et de l’éducation est que personne n’apprend à supporter la solitude. Dans le fragment suivant, Nietzsche nie les éducateurs qui forment à l’adaptation et non pas à la pensée. Celle-ci survient après l’éducation par les autres, c’est-à-dire au moment où l’on s’éduque soi-même après avoir acquis de l’expérience.
Nietzsche pointe le changement en petite dose car pour lui lorsqu’il s’agit de grands changements il faut que cela se fasse en douceur et lentement pour que les petits se multiplient et deviennent grands. Il donne comme contre exemple la brutalité de la révolution.
Nietzsche justifie son anti-féminisme par la perte de l’instinct de crainte chez la femme. Pour lui, le rôle de la femme risque de disparaître.
Il est 11 heures 20, je suis saturé, j’arrête de lire Nietzsche.
Benyounès Bellagnech
Mis en ligne par Bernadette Bellagnech
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