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  • : Le blog de Benyounès Bellagnech
  • : Analyse institutionnelle : Théorie et pratique au sein des institutions politiques, éducatives et de recherche. L'implication des individus et des groupes dans la vie politique et sociale.
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8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 10:00

Bonjour

 

Vous êtes invités à visionner un Entretien avec Henri Lefevbre :

 

img154.jpg

 

 

Sur successivement les liens suivants : 

 

http://www.youtube.com/watch?v=CiHfntd7jIs

 

http://www.youtube.com/watch?v=9nrpcFSyYa8

 

http://www.youtube.com/watch?v=-_0zW375RHs

 

http://www.youtube.com/watch?v=v2rLs95Op_o

 

 

L'information m'a été transmise par Philippe Lenice sur ma page Facebook.

 

Je rappelle que le blog est ouvert à vos commentaires et à la discussion sur l'oeuvre d'Henri Lefevbre 

 

Benyounès Bellagnech

http://lesanalyseurs.over-blog.org

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 16:05

Le relativisme pessimiste. Un IRM (au fil de citations) (1) du Pascal d'Henri Lefebvre (2)

 

 

"Chaque grande tendance théologique - le jansénisme à sa manière, le jésuitisme à la sienne - tente de s'emparer, pour la captiver, de l'individualité naissante." (1954:57)

 

"Nous allons donc étudier les thèmes des Pensées : la condition humaine - la grandeur et la misère de l'homme - l'infini et le fini - le «divertissement» - le Pari. Mais à travers cette distinction des thèmes et cette étude forcément disjointe, c'est un mouvement plus interne et plus profond que nous allons atteindre : celui de la conscience tragique, et de l'œuvre qui s'exprime. Nous verrons d'abord comment Pascal rabaisse l'homme et lui-même. Nous comprendrons ensuite comment en rabaissant le monde et les institutions (l'Etat et l'Eglise), il se met, lui, et avec lui l'individu chrétien privé de tout et cependant grand par sa pensée, au-dessus de ce qu'il transcende : la terre et le ciel. Nous comprendrons enfin comment il obtient la revanche, la compensation et la consolation absolues : l'identité avec Dieu. Non le Dieu vivant ou le Dieu de la vie, mais le Dieu mort ou le Dieu de la mort." (1954:103)

 

"La seule différence entre ces fragments des Pensées sur la misère de l'homme et les systèmes antérieurs - sous l'angle examiné ici - vient de ce que Pascal part de «valeurs», de faits «moraux» non de concepts abstraits ou de faits sensibles.

En vérité, sous l'apparence trompeuse d'une découverte des «structures» du réel humain (pour employer le jargon contemporain), Pascal applique méthodiquement une théorie préexistante." (1954:110)

 

"Une ivresse destructrice - le vertige - gagne Pascal. [...] Entre nous et nous-mêmes, Pascal glisse, lame tranchante et glacée, la pensée de la mort." (1954:121)

 

"Tous : amants déçus, adolescents inquiets devant un monde fuyant sur lequel ils n'ont pas de prise, ambitieux aigris, solitaires vieillis avant l'âge ou par l'âge, femmes inaccomplies, tous, jusqu'à ce que l'humain se réalise dans sa plénitude - jusqu'à ce que la vie sociale dépasse mystères et mystifications et atteigne la limpidité avec la plénitude. Ils trouvent dans les Pensées de quoi détruire et se détruire avec justifications : les articles d'un procès et d'un jugement multiforme sur le monde, l'homme, la vie sociale, et eux-mêmes, surtout dans une période où le déclin d'une société, de ses idéologies, de ses superstructures, rend plus saisissant l'amer tableau tracé par le maître du pessimisme." (1954:126)

 

"Le glissement du relativisme optimiste au relativisme pessimiste se produit donc dans l'interprétation de la nature et du naturel. Après avoir présenté la connaissance de l'infini comme une connaissance première et directe, encore que confuse - une sorte d'intuition ou d'évidence susceptible d'analyse indéfinie et indéfiniment féconde - Pascal retire à sa position initiale toute portée. La lumière naturelle cesse d'être une lumière directe. Seul le mensonge s'offre directement et immédiatement à la pensée humaine." (1954:160)

 

"Il ne voit plus que la mort et la lassitude. Et cela - ironie - dans une société qui commence à s'enliser, à s'immobiliser, et en sortira de sa somnolence qu'après un siècle de torpeur. C'est un être extra-social qui parle pour jeter l'anathème sur la vie et la société. «Cela étant bien compris, je crois qu'on se tiendra en repos, chacun dans l'état où la nature l'a placée.» Voilà le dernier mot lâche de cette sagesse mortelle : ne plus bouger, rester à sa place [...]." (1954: 167)

 

"[...] il utilise le caractère imaginatif de ces pseudo-concepts pour agir : pour persuader. Plus précisément, pour intimider." (1954:176sq)

 

"Pascal [...] peut orienter le choix, pousser l'homme agissant dans un certain sens." (1954:181)

 

"Sa volonté d'anéantir la nature devant le surnaturel, comme le néant devant l'infini, lui enlève la base de sa démonstration. Par exemple, si l'on détruit le désir naturel du bonheur (cf. éd. Br., p. 186), comment souhaiter le bonheur éternel ?" (1954:181)

 

"L'habileté et la ruse de Pascal sont infinies." (1954:193)

 

"Aucune action humaine, même la plus parfaite souffrance, n'a de valeur. Déjà bien auparavant s'étaient anéantis les autres liens, celui de la connaissance, et même celui d'une communauté humaine dans l'Eglise." (1954:216)

 

"A la pensée pascalienne nous pourrons opposer une maxime marxiste qui se formulerait à peu près comme suit : «Considérer les choses naissantes comme grandissantes et même déjà grandi.»" (1954:221)

 

Références :

 

Lefebvre, Henri (1954), Pascal. Tome deuxième, Paris : Nagel, 251p.

- (1949), Pascal. Tome premier, Paris : Nagel, 239p.

 

Leonore Bazinek (laboratoire ERIAC, Université de Rouen)

http://lesanalyseurs.over-blog.org

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 17:21

 Le relativisme pessimiste. Un IRM (au fil de citations) (1) du Pascal d'Henri Lefebvre

"Ainsi l'absence d'un droit naturel ou d'une justice fondée en nature, le règne universel de la coutume et de la convention, justifient la force, lorsqu'elle change les coutumes ou même lorsqu'elle modifie les conventions sans que ce changement soit requis par un changement spontané dans les coutumes. L'ordre factice ou le désordre renvoient à un ordre supérieur, dans lequel s'unissent la force et la justice, ou l'illusion de justice. Dieu, donc le Roi ! (ou, si l'on veut, le Roi, donc Dieu !)." (1949:32)

 

"Pascal ne fut guère que le traducteur en beau langage, et en langage diplomatique, de Jansénius. Il l'a stylisé. Et c'est tout. La vision vient de Jansénius, de lui seuil. L'Augustinus s'y retrouve dans toute sa dureté - la «notion», si l'on peut dire, qui reste à l'arrière-plan de l'œuvre pascalienne et du christianisme tout entier : celle d'une culpabilité mystérieuse des hommes. Il n'y a pas d'innocents ; ou, si l'on veut, les innocents aussi sont coupables : coupables d'être nés, coupables d'exister." (1949:47)

 

"Avec lui, la liberté de l'esprit - que définit Descartes dans le Discours - rentre dans ce qui la nie, s'enferme volontairement dans les formes qui impliquent sa négation." (1949 : 49)

 

"[...] sous l'édifice prestigieux, sous le style du grand Siècle - style que l'on prend trop souvent encore pour la réalité du siècle - Port-Royal n'a pas cessé jusqu'à nous de signifier la malaise profonde, la tragédie vécue. Il représente encore le malheur des hommes, et la fragilité, la fausseté, l'inévitable décomposition dès le début commencée, de ce pour quoi on sacrifiait les hommes. Où allait cet Etat, et cette religion officielle qui le soutenait, pris entre la bassesse jésuite et le fanatisme janséniste ? Où allait cette société ?" (1949:60)

 

"Entre Montaigne et Descartes, dont la morale, ou l'une des morales, fut nettement stoïcienne (cf. notamment Lettres à Elisabeth, mai-juin 1645, éd. Pleïade, p. 944 et sq.) s'intercalent les noms et les œuvres de Juste-Lipse, de Du Var, de Pierre Charron." (1949:117sq)

 

"Il s'en suit évidemment qu'un homme peut devenir «excellemment homme» sans la religion, par la seule sagesse humaine.

L'humanisme de Pierre Charron, encore abstrait, et qui se retrouvera déjà plus concret dans l'œuvre de Descartes, attenue singulièrement les thèses traditionnelles des théologiens. Charron répudie l'ascétisme. «Toutes les religions croient que le principal et plus plaisant service à Dieu et puissant moyen de l'apaiser ... c'est de se charger de force besogne difficile et douloureuse.» En regardant d'un peu près, on constate d'ailleurs que «la nation, le pays, le lieu, donne la religion»; nous sommes ainsi de telle ou telle religion «avant que nous sachions que nous sommes hommes.»

A l'opposé de ceux qui acceptent la coutume sans réfléchir ou sans vouloir réfléchir, le Sage jugera souverainement : « Il doit en tout examiner, peser, balancer les raisons et contreraisons.» La sagesse donc - formules déjà cartésiennes - consiste en une «pleine, entière et généreuse liberté d'esprit». Le sage sait «retenir en surséance son jugement sans s'obliger ni s'engager à opinion aucune, sans se coiffer ou épouser aucune chose.»

Charron glorifie le Sage de telle manière que la seule hypothèse de sa damnation éternelle devient impensable (Socrate est-il sauvé ? Cela va de soi, dit implicitement Pierre Charron; Absurde! Impie ! Impossible ! lui répond Jansénius)." (1949:119)

 

"Il <Pascal> se débat à travers les contradictions, et notamment amène au jour cette contradiction caractéristique de son temps, entre la notion humaniste, esthétique, sociale, morale, de naturel, et les thèses théologiques sur la nature déchue. Il s'en tire mal, en désintégrant la notion de nature." (1949:122)

 

"Sous l'apparence d'une conciliation, d'une «synthèse» supérieure, il les <Montaigne, Charron, Descartes> détruit l'un par l'autre pour ériger sur les ruines de l'humain, la folie janséniste." (1949:123)

 

"Mais ceci <discussion générale de l'art classique> déborde le présent exposé, destiné à situer l'œuvre littéraire pseudo-philosophique de Pascal, et surtout les Pensées qui passent encore pour une œuvre philosophique importante." (1949:144sq)

 

"Pascal mondain endoctrine sa sœur pour l'écarter du monde ; il la pousse au renoncement; en vertu de quoi il tente de capter, lorsque se règle la succession de leur père, la part de l'héritage de Jacqueline. N'aurait-il pas été conscient du hideux calcul ? Qui le croira ? Trop pur et trop impur, très spirituel et très matériel, très double surtout et déchiré, ainsi se précise à grands traits la figure de Blaise Pascal. Il gagnait ainsi le droit de se haïr, de haïr en lui la nature, et de se précipiter vers le repentir. Les hagiographes qui présentent un Pascal sans péché que le péché originel - un véritable agneau - se moquent du monde, et de Pascal, et de nous en nous interdisant de comprendre sa vérité. Comprenons qu'il savait par expérience quels abîmes de bassesse côtoie chaque homme, quand il évite d'y tomber." (1949 : 170)

 

"Certes, la vérité et la connaissance finissent toujours par triompher, mais non sans avoir été plus ou moins longtemps opprimés et étouffées; non sans luttes intellectuelles et matérielles (politiques)." (1954:17)

 

"Vis-à-vis de M. Goldmann, les objections s'imposent, celles-là mêmes au nom desquelles Lukacs a dépassé et rejeté son œuvre de jeunesse. Cette position aboutit à dénier tout caractère scientifique au marxisme, en le présentant comme Weltanschauung du prolétariat, produit de sa subjectivité de classe. L'apport culturel et idéologique d'une classe ne se définit pas par une «vision», totalité implicitement présente dès les premières manifestations de cette classe ou bien conscience «possible». L'idéologie se transforme en fonction des conditions concrètes. La noblesse de robe aurait apporté une «vision tragique» ? Non. Une «conscience tragique» se forme au XVIIe siècle, dans des conditions déterminées, à partir de contradictions déterminées. Répétons : une «conscience tragique», non une «vision». L'histoire concrète de l'individu et de l'individualisme est aussi complexe et riche que celle des idéologies. L'individu solitaire, réduit à sa vie «privé», a coupé toute relation avec le monde, le social, l'humain. Et cependant cet individu «privé» cherche à représenter idéologiquement ses relations avec le dehors. Tantôt la Raison, tantôt l'art ont plus ou moins bien reflété l'absence de solution et les efforts pour résoudre cette contradiction entre l'intérieur et l'extérieur, le «privé» et le «public». Il faut chercher les conditions historiques de la solitude pascalienne, et chercher pourquoi l'individualisme et la solitude de l'individu individualiste réapparurent au XIXe et XXe siècles (après une éclipse marquée par le mythe optimiste de l'individu : Robinson); et pourquoi ils retrouveront alors leur expression en Pascal. L'effondrement du rationalisme - la Raison représentant précisément l'universel dans l'individuel - peut accompagner chez Pascal le dépouillement, la privation croissante, le désespoir lyrique du pur individu «privé». Un aspect n'exclut pas l'autre, dans la «conscience tragique». La théorie de la «vision tragique» est une interprétation existentialiste, et même emprunté à Heidegger, du jansénisme, de Pascal, de Racine. Quant à la tragédie racinienne, sa réduction à un «instant tragique» - la solitude de l'individu devant le monde et Dieu - la schématise et la dessèche autant que la réduction d'une succession d'idéologies à une «vision» schématise et dessèche la vie idéologique d'une classe. Est-il permis d'oublier à ce point qu'une pièce de théâtre consiste en une action, en un dialogue, en une durée ? qu'elle se définit aussi par un système de conventions formelles ? etc. Le très réactionnaire Thierry Maulnier ne pose pas le problème autrement que le para-marxiste Goldmann. «Ce n'est pas simple rencontre si le mot de Médée émergeant seul du désastre est le mot même de Descartes au milieu de l'univers qui se dérobe : 'Que vous reste-t-il ? - Moi.' Je suis, dit Médée; je suis, dit Descartes. A nulle autre époque de notre littérature, l'affirmation du oui n'a eu ce caractère serein, stoïque, implacable» (introduction à la poésie française, p. 93). ). Voilà l'instant tragique «de l'individu solitaire» introduit au cœur du rationalisme, en rejetant tout simplement l'universalité de la Raison, en démembrant astucieusement le «Je pense, donc je suis». On élimine les conflits; les contradictions, les raisons profondes - historiques - de la «conscience tragique». On élimine les termes qui s'opposent à l'isolement de l'individu «privé», ainsi que les tentatives de résolution des conflits." (1954:49sqq)

 

 (1)[1]"L'IRM voit tout. Même ce que l'on ne le demande pas." - Ce propos (recueilli lors d'une visite médicale en juillet 2011) m'a inspirée l'idée de rassembler ces passages marquants du Pascal. Je les ai retenus, car elles sont en relation avec la question de l'action. Mais il y aura peut-être encore autre chose à voir.

 Leonore Bazinek (laboratoire ERIAC, Université de Rouen)

http://lesanalyseurs.over-blog.org

 

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 10:06

Université Paris Ouest Nanterre La Défense

 

SÉMINAIRE

«Concepts et théories nomades :

Henri Lefebvre dans les études urbaines aujourd’hui»

 

Jeudi 17 février 2011, à l’Université Paris-Ouest-Nanterre, salle D201

 

"La critique de la vie quotidienne" 

 

Organisation : Pôle Espaces-mondes : passé, présent, 

Structures participant au projet : ED 395, MAE, UMR Arscan, UMR Lesc, UMR Lavue, EA Gecko, revue Justice Spatiale/Spatial Justice, EA Chisco,    

UMR Préhistoire et Technologie, UMR Mascipo (équipe Esna) 

 

Merci de confirmer votre présence avant le 10 février:

q.db@orange.fr / Infos: 

http://www.u-paris10.fr/ed-mcspp

 

LE PROJET SCIENTIFIQUE

 

Le Pôle « Espaces-Mondes » a choisi pour 2011 de se concentrer sur une exploration de l’œuvre d’Henri Lefebvre, foisonnante s’il en est. Il ne s’agit pas d’une exégèse doctrinale mais au contraire de lectures situées. Sociologues, urbanistes, historiens, philosophes, géographes, anthropologues… que trouvons-nous dans ce travail qui nourrit nos recherches ou influence nos analyses ? Quelle est l’actualité de l’œuvre d’Henri Lefebvre, quelles en sont les différentes interprétations ? Deux journées de séminaire sont proposées pour préparer un colloque organisé en septembre 2011 en collaboration avec différents partenaires.

La discussion s’ouvrira pour cette première séance avec le triptyque de La Critique de la vie quotidienne. C’est dans l’immédiat après-guerre (1947) que Henri Lefebvre formule le premier tome de ce qui deviendra 35 ans plus tard une « métaphilosophie du quotidien ». Appel à la résistance contre les conventions, réflexion sur l’art moderne autant que sur le capitalisme, les trois tomes de La Critique de la vie quotidienne sont avant tout une injonction à la pensée autonome. Henri Lefebvre était convaincu que le chercheur devait avant tout chercher à transformer la société, qu’en est-il dans les études urbaines actuelles ?

Le Pôle étant également partenaire d’un échange de doctorants avec l’université du Massachussetts, la fin de l’après-midi sera l’occasion de réfléchir aux prolongements possibles dans les travaux des jeunes chercheurs et doctorants de notre École Doctorale.

 

Le séminaire est ouvert à tous. Chaque communication durera 40 minutes, sera discutée par un chercheur et suivie d’une discussion avec le public. Pour toutes questions : q.db@orange.fr.

 

 

LE PROGRAMME

 

10h - 13h

Grégory Busquet, MCF en sociologie à Nanterre, UMR 7218 LAVUE- Mosaïques, et Patrick Cingolani, Professeur de sociologie à Nanterre, IDHE UMR CNRS 8533, co-organisateurs du colloque Lefebvre, sept. 2011

 

Résistances ordinaires, espace et rythmanalyse

Discutant : Sylvain Sangla, docteur en philosophie, professeur de philosophie au lycée Jean Rostand Villepinte

Anne Raulin, Professeure de sociologie à Nanterre, LAU CNRS, co-organisatrice du colloque Lefebvre, sept.2011

  

L’ethnique est quotidien et sa consommation, une aliénation ? Apports de la critique lefebvrienne

Discutante : Claire Carriou, MCF en urbanisme à Nanterre, UMR 7218 LAVUE- Mosaïques

 

14h - 17h

Laurent Devisme, MA en sciences sociales à l’ENSA de Nantes, LAUA ENSA Nantes)

 

Paysages critiques de la vie quotidienne

Discutant : Jean-Fabien Steck ,MCF de géographie à Nanterre, GECKO-EA 375

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 18:05

Un article récent sur Henri Lefebvre :

Lefebvre, penseur du vivre en mouvement

Lire sur le lien suivant :  

http://www.humanite.fr/2009-11-20_Idees-Tribune-libre-Histoire_Lefebvre-penseur-du-vivre-en-mouvement  


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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 18:57

 

Viennent de paraître :


Remi HESS, Henri Lefebvre et la pensée du possible, théorie des moments et construction de la personne. Anthropos, 2009, préface de Gabriele Weigand, Paris, Anthropos, 2009, 690 pages, 29 euros.


Henri LEFEBVRE, La somme et le reste, Paris, Anthropos, 2009, 4° édition, 776 pages, 37 euros.


Henri LEFEBVRE, Le droit à la ville, Paris, Anthropos, 2009, 3° édition, 14 euros.

 

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