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  • : Le blog de Benyounès Bellagnech
  • : Analyse institutionnelle : Théorie et pratique au sein des institutions politiques, éducatives et de recherche. L'implication des individus et des groupes dans la vie politique et sociale.
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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 11:32

 

Commentaire  de  Michel Lobrot 

 

 

sur l'article 

 

 

 

Journal d'Hélène M., un exemple de journal de formation pour la licence en Sciences de l'éducation à l'IED de Paris 8 (138)

 

 

 

 

Il faut bien préciser les choses : C'est l'adulte qui se présente comme achevé alors qu'il est en réalité inachevé, n'ayant pas intégré les valeurs vitales de l'enfant. C'est l'enfant qui est achevé et qui mérite qu'on l'imite, non pas dans ses manques qui sont évidents mais dans sa dynamique. La poésie, selon Baudelaire c'est "l'enfance retrouvée".

 

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 11:25

 

Commentaire de MichelLobrot 

 sur l'article 

 

 

 

Parution : Pratiques de formation Analyses : Le journal pédagogique : Outil de conscientisation de l'expérience

 

 

 

Le journal, par lui-même, n'est qu'une forme, qui peut être parfaitement trompeuse. Il doit s'accompagner de l'auto-implication, c'est à dire du fait de parler de soi, de s'auto-révéler, comme disent les Américains. Le journal n'est rien sans transparence......

 

 

 

 

 

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 13:24

 

Commentaire

 

 

A propos de l'autobiographe. Le livre original édité Chez Duculot en 1978 a été gravement expurgé par Ahmed Lamihi avec l'autorisation de Lapassade. Le livre expurgé porte le même titre et a été édité en 1997 chez Ivan Davy. Cette édition faite pour pouvoir être lue au Maroc altère gravement le livre spécialement par rapport aux rapports avec sa famille.

 

 

Michel Lobrot

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 14:04

 

Commentaire posté par Lobrot Michel à propos de l'article Rapport de soutenance de la thèse de Doctorat en Sciences de l'Éducation de Monsieur Valentin Schaepelynck (2)

 

 

 

Je m'épuise depuis des années à faire admettre par la communauté scientifique que le concept d'institution est un concept durkheimien, relooké par le mouvement lapassadien...

 

 

Il est malheureusement quasi impossible de se faire entendre dans ce monde théoriquement centré sur l'écoute de l'autre et où tout fonctionne comme dans une secte. J'ai aimé l'effort de Valentin pour éclairer un peu les choses.....

 

 

 

Michel Lobrot

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 10:52

 

 

4 ans des analyseurs : bon anniversaire à tous les analyseurs de part le monde. Que ce mouvement puisse durer encore dans le temps. Nous sommes dans une mouvance importante tant le partage y est important, et ce droit à la liberté d'écriture, ou devrais-je dire, cette liberté de publication est bien une des choses les plus positives d'Internet. Nous pouvons nous exprimer, échanger, discuter sur des sujets qui nous intéressent et nous relient et ce, même dans un espace temps et spatial différent. Les baillons sont levés et libre à nous d'utiliser ce moyen de communication.


Bien heureux les créateurs de ce blog et de l'analyse institutionnelle. J'ai enfin trouvé une place, un lieu où je me sens bien. Mouvement bienfaisant!

 


J'ai une grande pensée pour G. Lapassade et R. Lourau que je n'ai malheureusement pas connu; et merci à M. Lobrot de partager avec nous, enfants du net. Je pense que R. Fonvieille aurait aimé participer à cette mouvance virtuo-réelle car il s'interrogeait sur la place de l'internet dans la pédagogie et y voyait "les immenses possibilités" (Face à la violence: participation et créativité, PUF, 1999). Peu de temps avant sa mort, il regrettait d'ailleurs de ne pas être encore "internaute".



Longue vie aux Analyseurs et aux IrrAIductibles.

Et que nous restions dans le mouvement!

 

Anne-Valérie Revel

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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 10:20

Commentaires  

 

    de Catherine Ecole-Boivin :  

Je soutiens la candidature de Remi Hess

 

 

d’Anne-Valérie Revel 

 

Bravo à Remi,


Je suis dans une joie profonde que notre cher Maître de conférence (et directeur de recherche en ce qui me concerne) se présente à la présidence de notre université Paris 8.


Je fais partie de ces étudiants en ligne (à l'IED) se sentant parfois oubliés, mis à l'écart des informations relatives à l'université.


En France, les études à distance sont encore trop mal reconnues, trop mal perçues alors que les enseignements sont les mêmes qu'en présentiel ! De plus, par la plateforme pédagogique Claroline, nous construisons une Agora Mondial d'une grande interculturalité où les frontières sont abolies. Nous sommes donc dans un lieu de partage, de rencontre interculturelle et intergénérationnelle.

 

Si une certaine compétition se fait sentir entre étudiants en présentiel, si un individualisme persiste dans les universités françaises, cet état compétitif est inexistant au sein de l'IED et plus particulièrement en sciences de l'éducation. Les uns et les autres n'hésitont pas à être dans l'entraide, dans la coopération dans nos enseignements, nos apprentissages, notre formation. Cela est certainement dû à un certain sentiment de solitude que nous ressentons tous derrière notre écran d'ordinateur. Pour pallier ce manque de Face à Face, nous nous solidarisons en une sub-communauté de la communauté Paris 8.


Remi représente pour nous une lueur d'espoir quand à notre avenir au sein de l'université Paris 8 et également pour notre laboratoire EXPERICE.
Je le remercie de se présenter à la présidence de Paris 8 et je suis dans l'espérance que les membres élus du conseil d'administration fassent le bon choix ce 9 Juillet.

Anne-Valérie, Etudiante-chercheure.

 

  

 

D’Elisa Neuville :

 

Tout mon soutien ! 

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 10:15

Commentaire sur Le journal pédagogique (9)

http://lesanalyseurs.over-blog.org/article-le-journal-pedagogique-9-97635631.html

 

Il y a dans ce post quelque chose de la perte. Quelque chose qui ne permet plus de supporter l’évènement, un évènement qui passe par l’oral et non l’écrit. Une sorte de basculement entre l’écrit et la parole. Entre l'amour du journal « A leur place souvent, j’écrirai mon journal, cela permet d’être sujet mais sans déranger le prof » et le rien, le rien de ceux qui n'écrivent pas. Je pense aux agendas scolaires de collégiens que je suis en train de récupérer, d’archiver. Créatifs, remplis d’humour, sorte de journaux de résistance. Pourquoi écrire un journal ferait de celui qui perturbe un cours, un être plus "sujet" qu'un autre ? Alors qu'il l'est autant en écrivant un journal qu’en parlant et discutant avec d'autres, et en se posant comme perturbateur ? N’est ce pas la même façon de se mettre à l’écart du collectif ? Est-ce que écrire c’est la même chose que penser à, et parler de ? Je m’en pose des questions. Pourquoi soudain dans un cours un élève n’est plus attentif au collectif, qu'est ce qu'ils avaient donc à se dire ces deux là ? Moi qui aime tant écrire, je sais que le journal est un outil de résistance formidable, silencieux, ami, confident, consolateur, intime, réparateur … Qui perd dans ce jeu, ceux qui sont sortis ou ceux qui ne sortiront pas ? Pourquoi donc choisir le bruit alors ... comme ces deux "délinquants".


Le journal lui est toujours là, physique mais pas vivant de respiration, il n’est pas de chair et pourtant il est la vie. C’est compliqué ce débat entre les lignes, mais aussi le débat collectif oral, mais de là émerge la pensée de chacun. L’une se lit l’autre s’écoute.

 

Remi dans ce post nous parle de son désir que ses étudiants vivent « la transe pédagogique » comme lui, les mots d’amour et d'émotion y sont forts, "j’adore mes étudiants, j’aimerai, transe, hystérie" adieu, retraite, j’ai fait mes 40 ans je retourne peindre (Remi peignait-il à la naissance et avant la naissance) qu’est ce que je « retour » je me suis dit. Il écrit « Je retourne peindre dans mon atelier ».

 

Quelle solitude finalement entre les mots écrits et la peinture, moi qui pratique les deux et qui ne suis pas une solitaire, je sais que ce sont des moments très seuls et en même temps bâtisseurs, constructeurs et encore une fois consolateurs. Comme si ce n’est justement pas l’autre qui console, mais soi avec les ateliers, les chantiers que l’on mène à bien ou à mal, comme l’écriture d’un livre ou l’achèvement d’un tableau. Ces naissances là, qui se renouvellent sans la dépendance de l’autre, sans dépendre de l’autre, comme pour la naissance d’un enfant l’autre est toujours là, avec son pouvoir de ne pas nous l’offrir, nous faire devenir mère, père ou grand-mère et grand père. Le journal, ou la peinture (et d’autres créations qui engagent le corps et l’esprit) sont sacrés, car elles sont à notre disposition sans se refuser à nous.

Dans ce post, je sens l’émotion des instants qui fondent, qui ne s’inscrivent nulle part, dans aucune mémoire. A part justement dans l’écrit et non dans la parole. Ce groupe perturbateur, n’est pas dans le désir du prof. Ça a à voir avec justement la règle et la loi et la sanction de Luca, de la conférence de Luca. Quel cadre avons-nous pour maintenir ce désir de l’autre dans le possible ?


Quel désir avons-nous de l’autre ? Puisque même en étant perturbateurs, l’autre sera cité dans un post, il prendra plus d'importance que tous les autres élèves étudiants non perturbateurs. On apprend dans ce post en effet « qu’ils sont sortis » ces deux « anti transe pédagogique », ils ont eu un instant le pouvoir de ne pas faire revenir le prof … l’abîme pédagogique, du découragement, de la tristesse, de l’impuissance de la loi et de la règle sur certains.


Oral bien souvent supérieur à écrit, cet abîme qui rend chacun abîmé. Abîmé du désir de l’autre, du partage avec l’autre, du désir de l’autre. Ces étudiants, ces gens dans notre vie qui entrent « chez nous » pour partager du « avec nous » et qui après être entrés de leur plein gré, en ressortent par effraction. C’est en cela je crois que ce découragement de Remi a à voir avec la perte, la perte de l’autre, comme sujet désirant. C’est le désir qui est mis à mort, désir cruel "que l'autre m'écoute, partage, soit là, ait une présence", désir débouchant sur une déception aussi glacial qu’une prison, dans laquelle bien sur la liberté seule est en jeu. Le prof se transforme en gardien alors pour préserver non pas son pouvoir, mais le désir du désir.

 

Catherine Boivin

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 10:32

Bonjour,

Commentaire sur l'article Compte rendu de la réunion des IrrAIductibles du 21 novembre 2011

 

Etudiante en Master 2 EFIS à IED-Paris, j'aimerais savoir si le n° sur l'autoprésentation d'EXPERICE est prévu pour Décembre ou s'il sera publié plus tard? Car à l'IED, nous aimerions savoir si nous pouvons écrire courant décembre un texte sur l'autoprésentation, ou un article en lien avec ce sujet !


Merci pour ces compte-rendus car n'étant sur Paris pour la plupart de l'IED, nous ne pouvons malheureusement pas assister à ces réunions et pourtant nous sommes plusieurs à vouloir participer à cette "renaissance" des IrrAlductibles. Nous nous sentons toujours un peu exclu sur notre plateforme de l'IED!

 

Revel

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 16:52

 

Je lis votre article et je pense au Paysan Paul Bedel, paysan philosophe de la Hague. Qui ignore que ce qu'il nous raconte est philosophique, car bien sûr il ne connait pas le mot. J'ai écrit sa biographie dans "Testament d'un paysan en voie de disparition", aux Presses de la Renaissance. Je vous livre un extrait de notre livre sur "les champs à cailloux" et les murets de pierres sèches de la Hague en Normandie.

LES CHAMPS A CAILLOUX

Les cailloux, on ne les jette pas non plus, faut pas croire, ici on ne jette rien. Les pierres remontent toujours à la surface, plus tu en cueilles, plus t’en ramènes.
Les cailloux pour nos murs entourant nos champs viennent du « sur place » mais aussi de la basse mer. Si j’en déniche un beau dans les mares, même un vilain, je le mets sur mon mur. Je peux être certain qu’il me servira un jour.
Je ne les maçonne avec rien, absolument rien. J’en ai monté environ quatre cents mètres autrefois près du sémaphore, c’est long et ça m’a duré vingt ans. Pour les construire, nos murets de pierres, il en a fallu des bonshommes. Les « Allemands de guerre », dès 1941, les avaient fichus par terre. J’ai toujours fait en sorte de réparer la guerre, afin que lorsque je passe près des endroits qu’ils ont détruits, je tâche d’oublier leur présence.
Plus tu vois ton mur vilain, tordu, plus il sera joli, je ne déconne pas. Voici la recette : tous les cailloux s’emboîtent, tu apprends « le sens du caillou », tu vois toujours le bon de loin.
En toi tu cries :
— C’est celui-là !
Pour faire un bonhomme comme moi il faut des années, soixante-dix-neuf ans cette année, pour les murets c’est pareil, c’est pas de la colle qu’il faut pour les reconstruire, c’est juste des mains, un bon coup d’œil des pierres et de la terre, rien d’autre. Pas de mètre et pas de niveau, ils ne tiendraient pas les pierres au mètre et au niveau, elles prennent leur place seules. Les mecs du littoral nous en fabriquent actuellement mais ils ajoutent de la colle, pour faire du beau faut pas de colle.
Ils n’ont pas compris, un vrai beau mur dans la Hague est vilain. Vilain comme les gens de la Hague, tout crochus qu’ils sont, et leurs grands nez. Nos murets sont comme les gens d’ici, ils sont moins beaux que la Hague dans ses paysages, mais ils sont solides et accueillants. Et le sens du caillou, par contre, ça s’invente pas, tu l’as ou tu l’as pas, ça s’apprend pas dans les écoles, ça te remue dans le corps, tu sais quand tu le tiens : le mur te vient.

Amicalement

Les mots, les pierres, les hommes reliés l'espace du monde sans artifices. Merci pour votre très bel article rempli de sens et de bon sens.

Catherine Ecole-Boivin

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 17:25

Bonjour

Je remercie mon ami Remi HESS pour ces articles sur les histoires de vie. La richesse et la diversité des contenus font honneur à Remi HESS. L'écriture d'un journal n'est chose aisée. C'est un exemple à suivre pour essayer d'écrire à notre tour le diary journal!

Merci Remi!

Salutations!
Pr BOUSSAFSAF Badreddine, médecin, Prof anatomie humaine, Constantine, Algérie.

 

 

Bonjour ! Cher ami Benyounès!
Je propose que l'on mette une photo de M. Remi Hess pour compléter le bon travail que vous faites!

Salutations!

Pr BOUSSAFSAF Badreddine, médecin, Professeur d'anatomie humaine. Constantine. Algérie.

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