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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 09:38

Une prise de décision : la licence se fera en deux ans

 

14/11/2010 9 h 23 Cypress Hill, Black Sunday

 

En fait, c'est plutôt un dimanche ensoleillé et ça fait plaisir après ces 3 jours de tempête.

 

Je viens de finir de lire l'introduction du cours de K. et les messages la concernant sur le forum. J'y ai passé 1 h 30.

 

C'est compliqué, je comprends sensitivement le sens (!) mais, je vois bien qu'il y a beaucoup de choses qui m'échappent. Problème de vocabulaire, de définition. Dialectique par exemple. Il faut de plus que je m'adapte à ce nouveau style d'écriture. Chaque enseignant a le sien, son monde. Et à chaque fois, il faut y entrer, comprendre comment ça fonctionne. Ça prend du temps.

 

Je pensais pouvoir y passer 4 ou 5 h et filer sur la matière suivante, Temporalité chez l'enfant et l'adolescent, que je n'ai absolument pas appréhendée. Mais ce ne sera pas possible. Il me faudra bien une dizaine d'heures pour approcher un peu cette théorie des moments.

 

Il me faut m'échapper de cette oppression du temps, de ce joug. Maintenant que j'ai formalisé le fait que je ne faisais pas ces études pour le diplôme mais pour me transformer, me mettre en mouvement, que j'ai envie de m'y investir, de vivre à fond ce moment, « quand je danse, je danse » dirait Montaigne, alors je me donne le temps. Le temps de m'imprégner totalement des enseignements pour que, transformée, je puisse les pratiquer. La licence se fera en 2 ans ! Il vaut mieux prendre la décision plutôt que la subir.

 

En plus j'ai envie de pouvoir passer sans anxiété des moments avec ma famille, mes amis, continuer à militer, m'occuper de mon corps, marcher, nager. C'est mon équilibre, je ne dois pas l'abandonner. J'ai déjà l'expérience de ce submergement qui s'était terminé par un accident vasculaire cérébral, en 2007 et qui m'a laissée sourde d'une oreille.

 

C'est bien, je suis contente d'avoir pris cette décision, ça me soulage.

 

Maintenant, je vais marcher, profiter de ce soleil en réfléchissant aux moments.

 

21 h 05 Handel, Sémélé

 

Ça y est !  L. nous a rejoint sur le groupe du journal!

Pas assez travaillé aujourd'hui. 5 heures seulement. A ma décharge, j'ai du rentrer mon bois pour l'hiver.

Je me suis donc attaquée dans la matinée au cours et la première séquence.

Le message de J. m'a interpellée car comme elle, je m'interrogeais sur l'utilisation du mot dialectique. Je suis donc allée chercher un peu de ce côté là. J'ai fouillé dans ma bibliothèque car j'avais du acheter un livre dessus, il y a quelques années et je l'ai retrouvé.

C'est « La dialectique mise en oeuvre » de Bertell OLLMAN aux éditions Syllepse. Pas trop difficile à lire. Le problème c'est qu'il ne parle que de la dialectique marxiste et que d'après ce que j'ai compris, elle est différente de celle de Hegel.

 

Après, j'ai eu envie d'aller voir un peu cette théorie des moments et j'ai commencé à lire le livre en ligne de Remi Hess « Henri Lefebvre et la pensée du possible ». Je n'ai absolument rien compris au chapitre 1 écrit par Jacques ARDOINO. Par contre ce qu'écrit Remi Hess est tout à fait abordable et ça m'a beaucoup éclairée. Je n'ai pas fini la première partie, ce sera pour demain matin, avant le travail.

Lu aussi l'entretien de K. avec Remi Hess sur « Le lycée au jour le jour », passionnant ! J'espère pouvoir demain arriver à faire une synthèse de tout ça.

 

Comme je l'ai dit à Laure, je n'arrive pas à interagir sur les forums. Il faudra bien que ça vienne.

 

Hélène M.

http://lesanalyseurs.over-blog.org

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