Mercredi 13 octobre 2005,
N’ayant pas pu poursuivre l’écriture de ce journal, je me demande s’il ne faudrait pas relire ce journal sur le non-moment.
Hier, de retour de Saint Denis vers Paris, je propose à Aziz de descendre à Cluny La Sorbonne, afin de marcher un peu avant d’aller au Lutèce. Nous montons le boulevard Saint Michel et ensuite la rue des Ecoles. Devant une porte, nous trouvons des livres, une dizaine. Nous les regardons et les feuilletons. J’en prends quatre, Aziz fait de même.
Trois des quatre livres sont abîmés. J’essaie de les réparer ce matin. Il s’agit de :
- Emile Zola, Fécondité, Paris, Eugène Fasquelle éditeur, coll « Bibliothèque Charpentier », 1900, 754 pages.
- Jean Cocteau, Les enfants terribles, Paris, 36ème édition, Grasset, 1929, 230 pages.
- André Gide, Les caves du Vatican, Paris, Gallimard, 42ème édition, 1926, 300 pages.
- Jean-Luc Parant, Le hasard des yeux ou la main de la providence, Paris, Ed L’originel, 1983, 144 pages.
Ce dernier livre est encore propre et donc n’a pas besoin de scotch.
Je ne sais si je vais pouvoir lire ces livres !
Benyounès Bellagnech
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