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  • : Le blog de Benyounès Bellagnech
  • : Analyse institutionnelle : Théorie et pratique au sein des institutions politiques, éducatives et de recherche. L'implication des individus et des groupes dans la vie politique et sociale.
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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 20:26

 (...)

 

Premier exemple, le plus récent

 

 

Certains se souviennent peut-être encore de l’Appel à la création, je cite, d’un « Mémorial en hommage aux personnes handicapées victimes du régime nazi et de Vichy » lancé en novembre 2013, et relancé le 27 janvier dernier à l’occasion de « La journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’Humanité » par un communiqué de presse.

 

Envoyé à plus de 2 000 journalistes de la presse spécialisée handicap, société, santé et journalistes de la presse quotidienne nationale, ainsi qu’aux principales chaînes nationales TV et radios, il n’a chez ces derniers donné lieu à aucune réaction, malgré la qualité des premiers signataires. Parmi eux : Tahar Ben Jelloun, Françoise Héritier, Axel Kahn, Julia Kristeva, Edgar Morin, Serge Tisseron… Et bien d’autres. Rien dans la presse écrite nationale, rien à la radio et à la télé. Vous avez dit censure ?

 

Faux. Un journal en a parlé : « L’Humanité », le 7 mars denier par la voix de Julia Kristeva, rédactrice en chef d’un jour. « Un appel solennel est adressé au président de la République rappelant le sinistre programme hitlérien d’extermination des personnes fragilisées par la maladie ou le handicap » écrit-elle. Suivent les méfaits infligés par le régime nazi aux handicapés mentaux et physiques en Allemagne. Un mémorial leur est dédié dans ce pays. Est omis dans l’article de Julia Kristeva le fait que l’Appel en question adressé à François Hollande concernait aussi et surtout les handicapés mentaux, je cite, « condamnés à mourir par celui de Vichy ». Autocensure de l’auteure, ce qui serait trahir sa signature, ou censure pratiquée par « L’Humanité » ?

 

On peut lire, à propos de l’Appel, les billets précédents. Vérifier la véracité des propos ci-dessus, et encore signer cet Appel (il a reçu, à ce jour, plus de 35 000 signatures) sur :

 

www.change.org/MemorialVictimesHandicap

 

(...)

 

Armand Ajzenberg

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 17:18

 

 

« Qui veut tuer Mediapart ? » Tel était le titre du carnet libre d’Edwy Plenel le 27 décembre 2013. Réponse évidente : bien sûr, ceux que certaines vérités dérangent. Et Mediapart a dérangé beaucoup de gens depuis un certain temps. Des gens de pouvoir.

 

« Mediapart, seuls nos lecteurs peuvent nous acheter». Tel était un autre titre de la rédaction, le 31 décembre 2013. Si on ne peut le tuer, qu’on l’achète ! Immoralement s’entend. Pour lui interdire de révéler d’autres vérités ! Comment ? Par une censure et, plus précisément, par une autocensure imposée résultant par exemple d’un pacte de non-agression, non écrit peut-être mais découlant de pressions financières.

 

Une pétition avait circulé. « La liste des personnalités politiques représentant tous les courants de Gauche, les directeurs de journaux (Le Monde est absent pour le moment), montre qu’une grande partie de l’opinion estime l’attaque scandaleuse, qu’il faut se mobiliser » écrivait encore le collectif CAMedia le 28 décembre 2013. En la matière, aujourd’hui c’est plutôt gagné pour Mediapart. Et plutôt mal parti, à ce jour, pour Libération.

 

Les journalistes de ce quotidien étaient du pouvoir. Le quatrième. Mais les capitaux sont du premier !

 

Dans ce qui suit, c’est aussi de censure qu’il s’agit, et donc aussi d’indépendance et de liberté de la presse.

 

 

CENSURES ? PACTES DE NON-AGRESSION ET AUTRES PRETEXTES OBLIGENT

 

La presse écrite est en crise paraît-il. Le quatrième pouvoir s’effrite. Elle n’a plus le monopole de l’investigation, des révélations… et de la censure. Existe aujourd’hui « Internet ». Ce qui n’est pas découvert par elle, ou si cela l’est mais est censuré, et cela arrive, est révélé ailleurs : sur les « sites » et les « blogs ».

 

Ce dont je voudrais ici rendre compte, c’est aussi d’un cas singulier : l’existence d’un pacte de non-agression, écrit ou non écrit, conduisant à une censure de fait exercée par un grand journal, de référence dit-on, sur son groupe et au delà. Ce qui devrait faire débat, à l’intérieur du groupe et à l’extérieur de celui-ci. En effet, s’il y a assujettissement, obligée ou non, d’une partie de la presse privée à un journal privé, il y a aussi assujettissement de fait d’une partie des médias de service public à ce journal privé. Ce qui devrait aussi faire débat.

 

J’en traiterais ici à partir de cas que je connais bien, comme exemples révélateurs et significatifs de censures, imposées ou non.

 

(...)

 

Armand Ajzenberg

 

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 11:36

 

14h41 Gluck, Orphée et Euridice

 

Réveil d'une longue sieste. Il y a du soleil dehors, il fait doux, ça sent le printemps. J'ai lu tout à l'heure un article sur le blog du Monde Diplomatique sur la Libye, l'Est du pays est libéré, Kadhafi tient toujours Tripoli avec une violence inouïe.

Après avoir retranscrit mes notes sur le chapitre 7 de L'entrée de la vie, j'irai marcher.

 

Chapitre 7 : L'être de classe et l'entrée dans la profession p 126-144

 

Une des différences entre les sociétés primitives et les autres sociétés est que ces dernières ont remplacé la primauté des liens familiaux par celle des rapports de production. Ce qui introduit la notion de classe sociale.

Lapassade rappelle que dès sa naissance l'individu appartient à une classe sociale mais que ce fait prend une importance particulière au moment de l'entrée dans l'emploi, le « choix » du métier, si choix il y a.

Il propose de réfléchir sur l'entrée dans la vie des jeunes ouvriers à partir du cadre posé par Marx. Pour ce dernier, l'important est de partir des conditions matérielles d'existence, ce sont elles qui déterminent la conscience qu'une personne a de son existence. Il se rapproche en cela de Kierkegaard. « C'est la praxis qui fait l'homme »(1).

Lapassade passe ensuite en revue : - l'orientation professionnelle (le choix du métier est plus une soumission à l'état du marché du travail), - la poursuite des études en classe supérieure (auxquelles les enfants d'ouvrier ont finalement peu accès), le développement de la personnalité de classe dans le milieu de la production. Pour ce dernier point, Lapassade examine les différents types de relations qui existent entre les adultes et les jeunes entrants. Il y a des relations paternalistes qui se rapprochent des rites initiatiques (compagnonnage), des relations de compétition et des relations de ségrégation. Dans ces deux derniers cas, le jeune ne peut que constater que l'adulte doit en permanence s'adapter, il a perdu son caractère achevé.

Face à cela, le jeune reste en retrait, développe une attitude sursitaire, la vie adulte n'a pas l'air si simple, elle fait moins ou pas envie.

« La découverte du caractère aliénant du travail serait ainsi, pour le jeune ouvrier, la forme moderne de l'initiation. » (2).

Lapassade expose ensuite les conclusions d'une étude sociologique menée sur les ouvriers parue en 1960 et qui constate la perte de l'ancienne fierté ouvrière qui était aussi relayée par les militants pour lesquels le travail était libérateur. L'espoir s'est effacé de construire une société meilleure par le prolétariat, c'est l'école qui pourra jouer ce rôle.

Il y a une acceptation de la société hiérarchisée, une issue matérielle favorable est possible mais pas une issue existentielle. En fait plus qu'une acceptation, c'est une attitude complexe faite de pessimisme et d'un refus de l'ordre socio-économique.

Alors que Touraine pense que l'ouvrier sort de sa condition, de sa classe, en accédant à la société de consommation, en pouvant par exemple s'exhiber dans une voiture de riche, Lapassade, lui, pense que c'est ignorer le sens de ces actes de consommation. Si les signes extérieurs de la conscience de classe disparaissent, cela ne veut pas dire que la conscience de classe n'existe plus en dehors du travail.

Il ne faut pas confondre conscience et existence de classe.

« Les rapports sociaux, les rapports aux « valeurs », la situation existentielle sont en relation directe avec les rapports de production qui structurent la société. L'entrée dans la vie se situe aussi dans cette dimension. » (3).


(1) p130

(2)  p139

(3) p144

 

Hélène M.

 

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 10:39

 

11h05 Cypress Hill, black sunday


Il se passe quelque chose de rigolo sur la plateforme. Hier E. a mis un message sur le forum des tuteurs pour exprimer sa déception face à l'absence de forum de discussion en anglais.

C'est vrai que c'est totalement surprenant et le texte qu'elle a posté et envoyé au prof est bien argumenté. Du coup, je lui ai répondu avec mon horrible anglais, elle m'a corrigée en anglais, L. et A. viennent de s'y mettre aussi, en anglais. Je trouve ça super sympa.

Je suis très fluently pour parler très mal anglais. Je n'ai aucune inhibition, quand je ne connais pas un mot, j'en mets un autre, la grammaire, je m'en fous. Seul P., dandy jusqu'au bout des ongles, me comprend. Il ne me corrige jamais. Il a, paraît-il, un anglais très pur, aristocratique (ce sont des amis qui me l'ont dit). Moi, je n'en sais rien. Juste je sais que je ne comprends que lui.

S'il y a un forum d'ouvert, je travaillerai peut-être l'anglais. Mais ce serait plus sympa si on pouvait parler d'autre chose que d'éducation et de pédagogie, avoir une petite fenêtre ouverte sur autre chose.

C'est un peu silencieux dans le groupe du journal. Je crois que J. est en cure, C. doit faire chauffer la machine pour le cours sur la relation pédagogique et E. est partout présente.

J'ai envoyé un message à Kareen pour savoir si par hasard elle avait la copie de l'article de G. Couic sur le journal commandé dont les pages ont été arrachées du volume de la bibliothèque.

 

Elle est toujours silencieuse face aux questionnements des étudiants sur le retour des notes. Elle avait dit, il me semble, qu'elle serait plus présente au second semestre. En attendant, à chaque fois que je l'ai interpellée par mail, elle m'a toujours répondu très rapidement.

 

Hélène M.

 

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 19:08

 

Je viens de terminer le chapitre sur les révoltés sans cause.

Ce qui est complexe chez Lapassade et que j'avais déjà noté dans la lecture de Groupes-Organisations-institutions, c'est qu'il reprend l'état des travaux antérieurs et qu'il les discute, pour trouver l'argument qui appuie sa thèse. La somme des références est impressionnante. Il y a, me semble-t-il, une maîtrise, une agilité intellectuelle. Je ne suis pas capable, je n'ai pas le savoir et les lectures suffisantes pour cerner de quelle manière il a travaillé ces ouvrages qu'il a lu. En fait, c'est sa méthode de travail qui m'interpelle. J'aurais bien aimé savoir comment il procédait, découvrir le fonctionnement de son mental. J'en vois le résultat mais je n'en connais pas le chemin.

Il donne toujours l'impression de n'avoir pas travaillé. C'est comme les grands musiciens, leurs doigts courent librement sur les instruments et on a le sentiment que c'est facile, que tout le monde peut y arriver et puis lorsque la guitare est installée sur les genoux, que les bras sont écartés, l'un sur le manche, l'autre sur la caisse et que les doigts tentent de sortir une note, les cordes font mal, les mains se découvrent malhabiles, rigides et l'on peut mesurer la distance, le travail à faire, le temps qu'il faudra.

En ce qui concerne ma méthode de travail, je crois que plutôt que de finir la lecture ce soir, je vais d'abord retranscrire mes notes. Là je sature un peu à tenter de le suivre. J'ai peur de louper de la substance si je ne me pose pas un peu.

 

En janvier je me demandais comment arriver à présenter ce livre en un mois et là je me dis comment le présenter d'ici Mai. J'ai l'impression que je n'aboutirai jamais. Je voudrais en faire une étude systématique, et puis, après avoir travaillé et travaillé encore dessus en sortir une présentation légère, vivante. Comme Lapassade, du travail long et obscur tirer la fulgurance.Je viens de terminer le chapitre sur les révoltés sans cause.

Ce qui est complexe chez Lapassade et que j'avais déjà noté dans la lecture de Groupes-Organisations-institutions, c'est qu'il reprend l'état des travaux antérieurs et qu'il les discute, pour trouver l'argument qui appuie sa thèse. La somme des références est impressionnante. Il y a, me semble-t-il, une maîtrise, une agilité intellectuelle. Je ne suis pas capable, je n'ai pas le savoir et les lectures suffisantes pour cerner de quelle manière il a travaillé ces ouvrages qu'il a lu. En fait, c'est sa méthode de travail qui m'interpelle. J'aurais bien aimé savoir comment il procédait, découvrir le fonctionnement de son mental. J'en vois le résultat mais je n'en connais pas le chemin.

Il donne toujours l'impression de n'avoir pas travaillé. C'est comme les grands musiciens, leurs doigts courent librement sur les instruments et on a le sentiment que c'est facile, que tout le monde peut y arriver et puis lorsque la guitare est installée sur les genoux, que les bras sont écartés, l'un sur le manche, l'autre sur la caisse et que les doigts tentent de sortir une note, les cordes font mal, les mains se découvrent malhabiles, rigides et l'on peut mesurer la distance, le travail à faire, le temps qu'il faudra.

En ce qui concerne ma méthode de travail, je crois que plutôt que de finir la lecture ce soir, je vais d'abord retranscrire mes notes. Là je sature un peu à tenter de le suivre. J'ai peur de louper de la substance si je ne me pose pas un peu.

En janvier je me demandais comment arriver à présenter ce livre en un mois et là je me dis comment le présenter d'ici Mai. J'ai l'impression que je n'aboutirai jamais. Je voudrai en faire une étude systématique, et puis, après avoir travaillé et travaillé encore dessus en sortir une présentation légère, vivante. Comme Lapassade, du travail long et obscur tirer la fulgurance.

 

Hélène M.

 

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 20:03

 

La fin de l'entrée dans la vie

Le 27/02/11 5h58  Mozart, requiem

 

Levée tard aujourd'hui! Hier, en fin d'après midi je suis allée à Brest chercher F. et m'acheter une étagère pour ranger tous les livres qui traînent pour le moment un peu partout dans mon bureau.

J'ai fini le chapitre 9 de L'entrée dans la vie qui traite de la question de génération. Je commence à peu à comprendre comment ce livre est fait. Il a un rythme en deux temps genre badam badam. Je crois qu'il y a un moteur puissant en mécanique qui fonctionne comme ça, il faut que je demande à un garçon le nom de ce moteur. Ça crée une sensation de balancement.

Lapassade prend les thèses des autres, le résultat de leurs analyses et puis il se positionne vis à vis d'elles. Je crois que c'est de cela dont parle Augustin lorsqu'il évoque la dialectique prendre en compte/rendre compte. Ce n'est pas la triplette de Hegel. Plus haut dans ce journal (à retrouver) j'avais constaté qu'il y avait différentes dialectiques et qu'en fait elles devaient être liées à une conception de la vie. J'ai bien conscience de l'approximation de mes propos mais c'est une piste à suivre. Si on utilise une dialectique binaire, ça veut dire quoi?

La plateforme commence à s'animer, je vais voir les messages. Les copines sont inscrites au cours d'Augustin. Je suis impressionnée par leurs capacités, mais celles de certains autres étudiants aussi, de discuter, d'argumenter.

Moi, j'ai du mal avec ça. J'ai l'impression que j'ai besoin d'avoir une connaissance physique/sensitive d'abord, j’essaie ensuite d'expliciter ce ressenti par des lectures et seulement après je peux argumenter. Écrire un texte d'argumentation ou de positionnement, même non performant, me demande au moins 4 à 5 heures de travail.

Bref, il me reste 60 pages à travailler sur Lapassade et je crois que je n'aurai pas fini ce soir. Il faudra ensuite poser mes notes dans ce journal et puis le finir.

Pour la présentation, il me faudra reprendre toutes ces notes, trouver le fil de la pensée, me l'approprier, relever ce qui me touche, m'interpelle, le travailler. J'ai l'impression que je pourrai passer tout mon second semestre dessus.

Hier je me suis aperçue que j'avais lu et travaillé sur cinq livres de Lapassade depuis le mois de novembre sans compter le livre fou que j'ouvre de temps en temps. Hier nous le regardions avec F. et nous avons éclaté de rire à la vue de la croix gammée dont chaque extrémité se termine par le mot love.

 

Allez, Hélène, avance!

 

Hélène M.

 

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 10:51

 

Le 26/02/11 6h10

Danger Mouse & Sparklerhouse, Dark Nigth of the soul

 

Ces derniers temps je me disais que le journal me laissait plus tranquille, je ne suis plus obsédée comme je l'étais à un moment. Je continue à écrire tous les jours, mais je n'ai plus d’anxiété face à la fuite des idées. Pourtant, si j'y pense, il y en a eu un maximum, notamment sur le sujet du journal. Je n'ai pas noté tous les livres que j'ai acquis sur le sujet et que j'attends avec impatience de pouvoir travailler, le texte que j'ai trouvé sur la réflexivité de Philippe Perrenoud (1), la question du rapport au temps qui me taraude, le jeu avec les lecteurs.

 

Au départ, lors de l'écriture de ce journal, j'avais l'impression de découvrir des choses. En fait, je ne faisais que les découvrir pour moi, d'autres avaient déjà tout posé. Alors maintenant, j'ai une fringale de connaissance, je veux tout lire, tout savoir, besoin de passer au stade supérieur, arriver à manier aisément toutes les notions, les concepts, jouer avec eux.

 

Le second semestre ne sera pas propice à cela, je vais plutôt entrer dans le monde un peu étrange de la psychanalyse, de la psychologie et j'en suis contente aussi, mais je vais devoir abandonner pour un temps le travail sur le journal que le cours de Kareen balisait.

 

J'y reviendrai donc durant l'été et j'ai hâte d'y être.

 

Ce Week End je dois finir l'Entrée dans la vie. J'ai presque terminé la lecture du chapitre 8 qui rejoint ce que j'ai lu dans Groupe-Organisation-Institution, ou plutôt qui en pose les bases puisqu'il a été écrit avant. Et puis la semaine prochaine, je boucle ce journal.....

 

 

(1) http://www.unige.ch/fapse/SSE/teachers/perrenoud/php_main/php_2004/2004_12.htmlconsulté le 24/02/11

 

Hélène M.

 

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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 16:05

 

Sortir du lot?

 

Le 25/02/11 2h32 John Surman, Private city

 

J'ai pas beaucoup causé dans ce journal hier. En fait j'étais en colère et là je ronchonne. Avant hier je n'ai pas réussi à trouver le sommeil, hier soir, j'ai été très désagréable à la fin de la réunion du collectif, j'ai dégoupillé une grenade de venin pas totalement à tort mais pas totalement à raison non plus.

Là je viens de finir le chapitre 7 de L'entrée dans la vie et heureusement qu'il est là Lapassade. Toujours aussi rapide dans l'exposé de la succession de son raisonnement mais il ne me déçoit jamais, lui. C'est devenu un compagnon, un ami, un maître. Il me pousse, me soutient, me stimule. Je suis un peu barée mais j'ai toujours l'impression que ces livres ont été écrits pour moi. Le sentiment qu'il me parle en direct. Je suis seule avec lui, souvent la nuit. Une intimité s'est créée.

Je suis contente qu'il soit mort et que je ne puisse le rencontrer. Comme ça je peux le garder pour moi toute seule et il n'y a aucun risque d'entrée dans un fan club ou d'être déçue.

Non, c'est pas vrai, je ne suis pas contente qu'il soit mort.

 

Aujourd'hui j'ai lu un entretien qu'il avait eu avec Augustin, Benyounès Bellagnech, Alain Monlouis et Laurent Kallit (1) sur la dissociation entre autre. Ce qui m'a le plus interpellée c'est la manière dont il réagit aux questions, la manière dont il explique et comment il peut dire, « là je commence à fatiguer », « je ne comprends pas ce que tu dis ». Il ne détourne pas, il ne rationalise pas, il est en communication, attentif à lui et aux autres.

 

(1) http://lesanalyseurs.over-blog.org/article-29847803.htmlconsulté le 24/02/11


Hélène M.

 

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 16:15

 

INFORMATION

QUELQUES NOUVELLES DU RÉSEAU… ET D’AILLEURS : 



D’Isaline Amalric : 

Lien à communiquer à vos relations pour m'aider à faire connaître mon site qui a été rénové et enrichi: http://www.tousbanditsdhonneur.fr/




De Francine Mayran :

 
20ème COMMEMORATION DU GENOCIDE DES TUTSI
AU RWANDA (1994-2014)

Organisé par l’association AMARIZA d’ALSACE

Dimanche 27 avril 2014


Au CONSEIL DE L’EUROPE (Dans le CEJ, Centre Européen de la Jeunesse) 30 rue de Pierre de Coubertin, 67000 STRASBOURG


«Mémoire, Reconstruction et la Vie 20 ans après ! »


Dans le cadre du programme du Conseil de l’Europe « Transmission de la mémoire de l’Holocauste et prévention des crimes contre l’humanité »

 
Avec la présence exceptionnelle de Son Excellence Jacques KABALE, Ambassadeur du Rwanda en France, venez visiter l'exposition et écouter des conférences et témoignages exceptionnels, comme vous pouvez le découvrir dans le programme qui suit

 
Programme complet de la commémoration

Le nombre de places étant limité par la taille de la salle, il faut impérativement vous inscrire chez francine.mayran@gmail.com et déterminer si vous envisagez de venir la journée entière ou le matin ou l'après midi, ainsi que pour le repas de midi sur place. Des badges seront réalisés et vous seront remis sur présentation d'une carte d'identité. 

Centre Européen de la Jeunesse

30 rue Pierre de Coubertin

67000 STRASBOURG

9h - 18h30

Voici le site de l'artiste: www.fmayran.com

 

De Jean-Marc Perfetti

Découvrez mon nouveau site, merci de rédiger des commentaires sous les photos HDR 

http://jeanmarcperfetti.com/711/?linkedin 
The french revolution

http://jeanmarcperfetti.com/711/product/french-revolution/?linkedin 
Beautyfull flower

http://jeanmarcperfetti.com/711/product/yellow-flower/?linkedin 
Sun in Paris

http://jeanmarcperfetti.com/711/product/sun-paris/?linkedin 
Angel, Louvre museum

http://jeanmarcperfetti.com/711/product/angel/?linkedin 
Art premier

http://jeanmarcperfetti.com/711/product/musee-du-quai-branly-quai-braly-museum-paris/?linkedin 

Si les oeuvres vous plaisent, Je cherche des galeries, des publications, des lieux d’exposition ou des sites internet pour les exposer.

Merci de me contacter

Pour voir encore plus de créations :

http://g.jeanmarcperfetti.com/?linkedin 

Je vous invite à découvrir une exposition à laquelle je participe, 82 oeuvres y seront exposées dont une fresque et 10 photos réalisées par mes soins :

du 11 au 27 mars Centre d'animation le Point du Jour 
1 rue du général Malterre 75016 Paris

métro Porte de st Cloud

Vernissage le 13 à 18h

 

De Claude Godfryd

Au printemps 1970 sur les Quais de Seine, Baptiste, jeune écrivain talentueux, tombe amoureux d’Eve devant l’étal d’un bouquiniste. Quarante ans plus tard, il raconte à son neveu Adrien l’histoire rocambolesque et coquine de leur première nuit d’amour à l’ombre des gargouilles de Notre-Dame. Les révolutions sexuelles passent, les désirs de la femme et de l’homme restent les enfants chéris des chimères… 
Point d’orgue à cette toccata et fugue d’une passion post-soixante-huitarde, vingt photos jouent à cache-cache avec le temps.

http://claudegodfryd.wordpress.com/ 


De Anne Slacik

Exposition personnelle

L'eau et les rêves, peintures et livres peints

Bibliothèque municipale de Grenoble

10 rue de la République

Grenoble 38 000

04 38 37 20 83

http://printempsdulivre.bm-grenoble.fr/ 
du 21 mars au 30 avril 2014, dans le cadre du Printemps du livre 
vernissage le vendredi 21 mars 2014 à 18h30 
Lecture de Sylvie Fabre G. et présentation de Piero, l'arbre, livre peint S. Fabre G. et A.Slacik aux éditions Aencrages and co 2014



A vos papiers !

exposition collective avec M. Destarac, S. Tual, A. Slacik, J. Coppel, L. Costello, M. Cueco, O. Debré, J. Degottex, M. Loubchansky, 
JM. Marchetti, R. Matta, J. Messagier, L. Novoa, A. Walker

Galerie Routes

53 rue de Seine

75006 Paris

du 6 mars au 19 avril 2014

vernissage le 6 mars 2014 à partir de 17 h


01 46 34 71 80

contact@galerie-routes.com 
www.galerie-routes.com 
du mardi au samedi de 10h30à 13h et de 14h à 19h



Féminines ?

exposition collective avec M.Bara, M. Destarac, M. Dugois, C.Fertin, MN. Fontan, A.Garibbo, Koba, Y. Laigre, V. Molnar, M. Nakamura, 
S. Pincemaille, MN. de la Poype, A. Slacik, A. Walker

 
Abbaye de Saint-Florent-le-Viel

Rue Charles de Renéville

49410 SAINT FLORENT LE VIEIL


du 1er au 30 mars 2014

vernissage le samedi 1er mars 2014 à 18h30

http://anne.slacik.pagesperso-orange.fr/ 


DE JEAN-BAPTISTE VÉBER :

Voici les liens vers mes deux derniers articles. Le premier, publié sur mon blog, est à vocation culturelle et littéraire : 

- http://leonbellevalle.blog.lemonde.fr/2014/02/16/giorgios-satyre-et-philosophe-i/ 
- http://leonbellevalle.blog.lemonde.fr/2014/03/01/giorgios-satyre-et-philosophe-ii/ 

Le second réfléchit à la différence entre pédagogie et éducation et aux méthodes pour les mettre simultanément et efficacement en oeuvre dans les classes :

- http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/societe/education/221193047/deux-adultes-trente-adolescents-ii 

J'espère qu'ils vous donneront matière à penser, à rêver, vous amuseront ou vous déplairont - mais en tout cas ne vous laisseront pas indifférent. Si c'est le cas, n'hésitez pas à les commenter, les liker, les faire suivre, m'en donner des nouvelles ! C'est avant tout pour cela que je les écris, échanger sur des thèmes qui me passionnent !


DE PHILIPPE SIMONNOT :

 

Publication prochaine en français et en allemand à Berlin de mon essai sur les Origines de la Première Guerre Mondiale.

Étant donné le thème traité qui fait porter à la Russie et surtout à la France la responsabilité du déclenchement du premier conflit mondial, remettant en question la thèse de la culpabilité allemande, je vais à contre courant du mainstream du Centenaire ...

 
Il n'est pas indifférent non plus que cet ouvrage soit publié en Allemagne dans une édition bilingue. Sur un tel sujet c'est une nouveauté complète.

D_i_e_ _S_c_h_u_l_d_ _l_a_g_ _n_i_c_h_t_ _b_e_i_ D_e_u_t_s_c_h_l_a_n_d_._/_ 
N_o_n_,_ _l_’A_l_l_e_m_a_g_n_e_ _n_’ét_a_i_t_ _p_a_s_ _c_o_u_p_a_b_l_e_

ISBN 978-3-9814942-0-?, ISSN 2193-5289?

 

Bestellung bitte über eine Buchhandlung oder direkt bei: Edition Europolis UG (haftungsbeschränkt) & Co. KG, Hackescher Markt 4, 10178 Berlin 


 

En défense de la liberté des blogueurs : une action de soutien à Pierre Dubois 
PAR PASCAL MAILLARD

Le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois, hébergé par le site d'information en ligne EducPros, est devenu au fil des années une source d'information et d'analyse irremplaçable pour tous les sujets relatifs à l'Enseignement supérieur et la Recherche. Aujourd'hui la liberté d'expression du blogueur est mise en danger par un rappel à l'ordre inquiétant de la direction du site d'information.

 

 

Armand Ajzenberg

 

http://lesanalyseurs.over-blog.org

 

http://journalcommun.overblog.com/ 

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 10:44

 

 

Michel3 petit

 

 

Cher ami

 

Nous avons eu quelques difficultés ensemble dans le passé et je le regrette... Je suis très intéressé par votre livre que je vais lire sans tarder, amicalement,

 

 

Michel Lobrot

 

 

 

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